Mirmande 2006

 

5-8 septembre 2006

 

 "le détachement

et le divin en nous"

 

Dossier s

-  Le Détachement et la rupture dans la vie selon M.Legaut et G. Durckheim  

-  Le Détachement dans la vie de tous les jours 

-  Détachement et différentes pensées  

-  Le Détachement selon quelques grands spirituels

-  De l’attachement au détachement, du détachement au « Divin en nous » selon Me Eckhart   

Informations pratiques

Dates et lieu

La rencontre aura lieu du mardi 5 au vendredi 8 septembre à la Magnanerie,  à Mirmande (Drôme)

Comme les années passées, Robert propose une journée d'approche au pinceau japonais, la veille, le lundi 4 septembre. Ceux qui souhaitent participer à cette journée, devront arriver le dimanche 3 septembre pour le repas du soir. Les autres, le lundi soir.

Le départ aura lieu le vendredi 8 septembre matin.

 Inscriptions

- pour la rencontre, s'inscrire rapidement auprès de :

 Marie-Thérèse Abela, 52 rue Liancourt, 75014 Paris. Tél. 01 43 22 06 19

Un dossier sera envoyé à ceux qui se seront inscrits. Les non-inscrits pourront aussi le recevoir sur demande (10 €)

-  Pour le pinceau japonais, s'inscrire auprès de

Robert Mollard, Ste Luce, 18 rue de la Reille, 13770 Venelles. Tél. 04 42 54 70 7

- Pour l'hébergement, s'inscrire auprès de:

Olivier Ogier, la Magnanerie, 276270 Mirmande. Tél. 04 75 63 19 83

en précisant le jour et l'heure approximative d'arrivée

Prix: 25 € par jour pour la pension

+  la cotisation de15 € à l'association culturelle Marcel Légaut

Il est préférable d'apporter des draps; à défaut location sur place pour 6 €


« L’être disponible est celui qui est capable d’être tout entier avec moi lorsque j’ai besoin de lui. Être indisponible, c’est être en quelque manière, non seulement occupé de soi, mais encombré de soi… Pour le premier je suis une présence, pour le second je suis un objet. »[Gabriel Marcel, Paris, Cerf/Bellarmin, 1985, Recherches n°6, p. 165-167. ]

 « On est livré nu à la lumière».[S. Weil, La pesanteur et la grâce, Paris, Plon, 1948, p. 64; cité par M. Zundel, "Simone Weil", Le Caire, Les mardi de Dar El Salam, 1948, p. 2]: «Accepter un vide en soi-même, cela est surnaturel».[S. Weil, La pesanteur et la grâce, Paris, Plon, 1948, p. 21] « La grâce comble, mais elle ne peut entrer que là où il y a un vide pour la recevoir, et c'est elle qui fait ce vide.»[S. Weil, La pesanteur et la grâce, Paris, Plon, 1948, p. 20]  



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@2006 JS "Jésus simplement" mise à jour le 12/06/2006